Billets de blog

 Un article, paru dans Le Monde et rédigé par Frédéric Farah, dénonce vigoureusement le dumping social persistant dans le secteur du transport maritime. Trois responsables centristes de Normandie expriment leur préoccupation quant à la concurrence déloyale entre les opérateurs du secteur, en mettant en lumière un exemple récent où plus de 800 marins de la compagnie britannique P&O Ferries ont été licenciés et remplacés par une main-d’œuvre moins coûteuse, sans droits sociaux décents.

Dimanche dernier sur X (anciennement Twitter), une note du renseignement militaire britannique indiquait : « depuis l'invasion de février 2022, les forces armées russes ont subi 658 pertes par jour en moyenne ». Poursuivant ainsi : « chaque année a vu une augmentation du taux de perte quotidien moyen, passant de 400 en 2022 à 693 en 2023, à 913 au cours du premier trimestre 2024 ». Une augmentation qui fait écho à la dépendance constante des Russes « à la masse pour maintenir la pression sur les lignes de front ukrainiennes. »

Ah, le grand écart entre les aspirations du Nouvel An et la réalité du canapé, un classique ! Mes chers lecteurs, je vous tape sur les doigts pour avoir snobé les haltères au profit de nos fidèles baskets. En clair, il semble que se contenter de courir autour du pâté de maisons ne soit pas le summum de l'excellence physique après tout. Ajoutez un peu de renforcement musculaire à votre routine, et voilà, vous êtes sur la voie royale vers une santé de fer, un métabolisme de guerrier, et qui sait, peut-être même une humeur ensoleillée en prime.

Anne-Catherine Wagner, notre sociologue aux lunettes d’investigation affûtées, plonge dans l'univers complexe et bouillonnant des classes sociales sous l’ère de la mondialisation, un sujet qu’elle mijote avec expertise dans son ouvrage "La mondialisation des classes sociales". La recette? Une étude croustillante sur comment la mondialisation, loin d’être l’égalisatrice universelle vantée par ses promoteurs, sert en réalité de levure à l’écart grandissant entre les élites cosmopolites et les classes populaires, bien ancrées dans le terroir local.

D'abord, faisons un tour d'horizon. La bagnole, cette reine des routes, a catapulté la société dans une nouvelle ère, celle où tout le monde veut sentir le vent dans les cheveux sans quitter son siège. On a commencé doucement en 1905 avec quelques milliers de tacots qui se dandinaient sur les pavés, pour arriver à un déluge mécanique de 39 millions de véhicules en 2023. Ah, et la Renault Clio est devenue la coqueluche de la France, preuve que même en matière de goût automobile, on reste patriotes.

Notre cher président Macron, dans un élan de bravoure communicationnelle – ou de maladresse, selon où vous vous situez sur l'échiquier politique –, a jeté un véritable pavé dans la mare en parlant d'envoyer des troupes françaises en Ukraine. Vous imaginez le tableau ? Le gars lance cette idée, et paf ! C'est comme s'il avait déclenché une alerte générale tant en France qu'à l'international. À l'intérieur, tout le spectre politique français est monté au créneau, criant à l'incompréhension, à l'inquiétude, voire à la sidération.

Romain Huët, ce maître de conférences à l'université Rennes 2, a décidé de plonger tête première dans les abysses des conflits modernes, en allant côtoyer les combattants en Syrie et en Ukraine. Ce qui est fascinant, c'est qu'il s'attendait à trouver une intensité, un drame constant, mais qu'il a aussi été frappé par l'ennui, le temps suspendu, et les moments de vie quotidienne étrangement ordinaires au milieu du chaos.

Ah, le théâtre judiciaire français nous offre encore un spectacle digne d'un roman policier ! Imaginez la scène : une troupe hétéroclite composée d'un personnage mi-escroc mi-espion, d'une reine de la presse people, d'un ancien directeur de magazine, d'une star de la tech, et même d'un t secret libyen, tous réunis dans un seul but - sauver Nicolas Sarkozy, l'ancien président de la République, des griffes de la justice dans l'affaire des financements libyens.

Ah, l'affaire est corsée, mes amis ! Le 11 mars 2024, on a eu droit à une nouvelle qui pourrait bien faire l’effet d’un pavé dans la mare pour les UberEats et Deliveroo de ce monde. L’Europe a décidé de taper du poing sur la table pour améliorer la situation des travailleurs de ces plateformes, en gros, en leur donnant des droits dignes de ce nom. Mais accrochez-vous, ni Paris ni Berlin n’ont levé le petit doigt pour cette directive. On dirait un peu que Macron et Scholz refusent de signer l’addition d’un repas de famille tumultueux, non ?